Bienvenue sur le blog de ToF', une escale dans sa balade labyrinthique.
J'examinai l'éventualité d'élire domicile dans le grenier. Devenir le loup s'élevant à la lune. Fuir les matins bleu-gris et renouer dans l'errance avec la persistance de la lumière nocturne. Amaigrie, l'air d'une louve, elle me séduisait autant qu'elle...
Borné aux terres étroites de ma petite récréation quotidienne, j'observe l'absence de perspectives du bout de mon javeau qui me sert de cerveau. Sur un nuage entraperçu, j'aperçois qui j'aurais pu être, un célèbre expert en démonologie; le privilège enfin...
Arrivé à bon port la famille était là debout autour du mort saisi par le grand froid. On sent venir l'aurore comme un nouveau trépas à mesure que dehors l'hiver lui prend le pas. LIRE LA SUITE DANS LE RECUEIL " POEMES DE L'APOSTOF' "
" Pardon de te marchander mon offrande, divinité insatiable de la guerre. Je sais tout e qu'aujourd'hui on te donne et que tu n'as plus même à te baisser pour en prendre. Et si pourtant j'osais parler de ce qu'on te refuse? Une fois de plus, tu es là...
D'ici, je vois là où, par la pensée, je me recueille. Ce soir, il neige. Je la vois, la neige... tomber si lentement, presque en apesanteur. Je la vois, la sens venir se poser sur la pierre, la rocaille funèbre enveloppant l'ami qui ici-gït. Je la sens...
Dans le froid de l'automne à battre les pavés d'un pas sur sol qui sonne propre à revendiquer Dans le bleu des nocturnes le Prince se pouponne sous un ciel seul qui tonne ça saigne dans les urnes Le temps s'écoule fait qu'on roucoule ça coule... bleu...
J'ai des orties dans les cheveux de la mélancolie dans l'âme... juste à deux doigts de prendre feu au beau milieu du macadam (Han han... han han... han han han... han han) J'ai de la terre sous les ongles du sang séché pile sur le coeur juste au-delà...
Présenté sur le forum http://www.macadam-forum.net/textes-courts-f31/petit-conte-de-l-apostof-la-crapouille-t2936.htm
Ritournelle d'automne à lire ICI :)
Jeu d'écriture pour mag 7 avorté, "La fureur du grognement" Ça vagabonde pas mal, du côté de mon cérébral qu’inlassablement je triture à coups de sensations et à lattes de substances embrumées. Je ne le ménage pas, et ce n’est pas sans une certaine angoisse...