Bienvenue sur le blog de ToF', une escale dans sa balade labyrinthique.
Texte initialement écrit pour le mag 7 avorté, "La terreur du grognement" Comme Monsu Desiderio, beaucoup m’ont su des idées noires. Mais en matière de grognement, je m'y adonne à présent avec toute le noviciat qui me caractérise! Dans les moments de...
Souvenirs poussières en couches épaisses sur des photos de famille que rien ne perturbe, que rien ne peut venir importuner. Des portraits, des clichés en noir-et-blanc font sur les buffets d'ébène un labyrinthe du temps qui passe, du temps qu'il reste....
I Aux allures d'un carnage J'ai l'angoisse à l'image De ces vers qui gargouillent Au fond de ma poubelle LIRE LA SUITE DANS LE RECUEIL " POEMES DE L'APOSTOF' "
Le samedi 20 novembre 1981 vers 14heures, je faisais mon apparition en plein "centre du monde": Versailles. Et encore plus précisément: Saillvers; tout près mais assez loin de la foudre du roi-soleil. A dix-sept ans, on me tint informé, à l'occasion d'une...
Après L'Oeuf, nouvelle mise en bouche en exclu. Voici la version sonore des Lutins. Bonne écoute ! Texte et arrangements musicaux: Christophe Tof' M. Voix: Laetitia "Malia" Berlioz
"Et s’il était à cette heure taciturne un œil sans sommeil, ouvert dans quelque fosse du champ de repos, il se fermerait soudain, de peur de voir un spectre dans les étoiles." Aloysius Bertrand Photomontages: Christophe Tof' M.
Savez-vous qu'il existe quelque lieu ici-bas où s'annoncent encore des aurores à luire? Ce sont sans exception des espaces d'ombre; car partout où la douce obscurité abrite, bourgeonnent des boutons renaissants. Sous l'abîme des songes, au pied d'une...
Il y a des skulls qui poussent un peu partout entre les herbes hautes. Ils guettent patiemment leurs proies butinantes. Des crânes semblent sortir de la terre, mais l'on sait bien qu'il n'y a dans ce processus rien de naturel. D'ailleurs, rien ne prouve...
Tu bailles grand Tu t’écartèles la maxillaire Tu laisses passer le vent T’as comme besoin d’un courant d’air Tu bailles béant Tu bailles grand Timide tu lèves l’auriculaire Comme un fœtus confusément « Puis-je aller déposer mes nerfs? » Oeufusément… Attendez,...
Assis au bord du vide, la main du diable posée sur mon épaule, sous des allures de bienveillance, cache un sourire perfide, un rire de ruse. Je lévite, mais ne l'évite pas. Le vertige et le grand froid me sont compagnons de saintes glaces. Nous recherchons...
........................................... Lutins de petite société dans d'ambigues affinités se liment les ongles, se lèchent les bottes. LIRE LA SUITE DANS LE RECUEIL " POEMES DE L'APOSTOF' "